Punition par un Maître plein d'imagination

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il y a 10 ans

En juin, j’avais décidé d’aller à l’enterrement de la vie de jeune fille d’une de mes copines, contre l’avis de mon mari qui ne l’aimait pas. Je lui avais promis de ne pas rentrer trop tard, mais la soirée était tellement sympa, qu’a la sortie du resto je me suis rendu compte qu’il était déjà 1 heure du mat. Pire ? Je n’ai pas pu résister à la proposition d’aller tous en boite. Je suis donc rentrée au petit matin, alors que mon mari n’avait pas dormi, inquiet, et, dans une colère noire, il avait dit que je lui paierais ça.

Le lendemain et les jours suivants, tout semblait être oublié, jusqu’à cette soirée du mois d’août.

Nous avons une maison à la campagne, avec un grand jardin, un petit potager, et une petite rivière qui délimite le terrain. Ce soir-là, il faisait très chaud, orageux. Nous avons mangé dehors un très bon repas et un peu bu ; j’étais bien. Noël me demanda de me déshabiller et commença à me caresser. Bientôt, il me proposa de m’attacher, pour me prendre sur la pelouse.

J’étais très excitée, et j’aimais bien ces jeux que nous faisions de temps en temps. Il me fit mettre un vieux collant, et commença à me lier les pieds avec un rouleau de scotch pour emballage. Plantes des pieds jointes, il passa plusieurs fois autour des coups de pied, puis il lia chacune des chevilles contre mes cuisses. Ainsi terminé, je ne pouvais plus du tout bouger mes jambes.

Il me passa un large collier autour du cou, avec un anneau dans lequel il passa une petite chaîne d’une vingtaine de cm. A chaque extrémité il referma un petit cadenas sur les bracelets de cuir qu’il m’avait mis aux poignets. J’étais sur le dos et j’étais persuadée qu’il allait me prendre dans cette position.

Mais il sortit de sa poche un bâillon que je ne connaissais pas, en forme d’un large anneau avec deux courroies serrées derrière la tête, et qui m’obligeait à garder la bouche grande ouverte. Puis il arracha le reste de collant, serra autour de ma taille une ceinture de cuir, et passa dans la boucle une de ses vielles cravates de soie. Il passa les deux pans entre mes cuisses, entre mes lèvres de chaque coté de mon petit bouton rose. Puis il me retourna sur le ventre. Je ne voyais pas ce qu’il faisait maintenant, mais je sentis qu’il m’enfonçait dans l’anus 4 ou 5 de ses suppositoires de glycérine que je prenais de temps en temps, et pour finir, la bougie qui décorait notre table, avant d’attacher les pans de cravate à la ceinture, dans mon dos, et en serrant fort.

J’étais un peu surprise, que lui d’habitude si doux, soit un peu brutal ; Mais j’étais un peu grise, et surtout ce bâillon empêchait toute protestation. Il ôta son pantalon et s’assit à un mètre de moi.

-viens me sucer, ou je te laisse ici toute la nuit.

Le jeu était excitant ; J’entrepris d’essayer d’avancer. Après plusieurs essais de reptation difficile, je compris que la seule possible, était de m’aplatir complètement, les coudes en avant, et ensuite de me tirer sur les bras, les mains à plat. Le reste de mon corps traînant sur le sol. Mes seins, mon ventre, mon sexe frottait l’herbe tendre et fraîche et cette situation m’excitait beaucoup. Lui s’amusait à me regarder avancer péniblement, centimètre après centimètre, vers son sexe tendu.

Quand j’arrivais à lui, j’étais trempée, par l’effort, l’envie...Ma bouche effleurait maintenant son gland. Il me tira par les épaules pour les derniers centimètres, et je ne pus faire autrement que de l’avaler tout entier. Son gland vint frapper au fond de ma gorge, et aussitôt, il saisit mes cheveux et m’impliqua un mouvement de va et vient si violent, et si rapide que tout mon corps se balançait d’avant en arrière. Ma gorge était en feu, mes seins, mon sexe frottaient le sol, et mon clito, prisonnier de ses deux bandes de tissu, envoyait des ondes de feu à mon cerveau. Je ne savais plus ou j’étais, si j’avais mal ou si j’allais exploser d’une jouissance foudroyante.

A ce rythme il ne teint pas longtemps, je sentis son gland se gonfler et je ne pus rien faire. Il m’envoya tout son foutre en un seul jet puissant, tout au fond de ma gorge. Je détestais çà, et jusqu’à présent il se retirait toujours. Mais cette fois il me tenait, et il m’obligea à garder son sexe dans la bouche jusqu’à ce qu’il débande, pendant de longues minutes, m’obligeant à avaler son sperme.

D’un coup, il se releva et s’approcha avec une longue corde qu’il venait de ramasser, cachée à quelques mètres dans l’herbe. Avant que je ne comprenne, il avait cadenassé l’extrémité de cette corde à l’anneau de mon collier.

-Tu vois cette corde, dit -il en la soulevant un peu, elle fait le tour de l’arbre la bas, de l’autre coté de la rivière, puis elle revient jusqu’à ce crochet derrière toi, ou ce trouve les clés de tes cadenas. Ce n’est pas bien loin, presque à tes pieds, mais tu ne peux les atteindre qu’en suivant le même chemin que la corde. Amuse-toi bien, et essaies de rentrer plus tôt qu’au mois de juin.

Il partit aussitôt, bien avant que je ne réalise l’épreuve qui m’attendait. L’arbre en question était à 50 mètres, mais après la pelouse, il fallait traverser dans le potager un grand carré de terre fraîchement bêchée, mais surtout la rivière , et les berges couvertes d’orties !! Ce n’était pas possible, il voulait juste me faire peur !

Et je restais plusieurs minutes à guetter les bruits dans l’espoir qu’il viendrait me délivrer. Je n’arrivais pas à imaginer qu’il pouvait se venger ainsi. Mais rien, la nuit tombait et bientôt, une autre angoisse s’ajouta à ma détresse.

Les suppositoires commençaient à faire leurs effets et des douleurs sourdes tordaient mes intestins. Mes jambes souffraient de cette position et tout mon corps se refusait au moindre mouvement. J’étais désespérée, incapable de la moindre réaction, et pourtant, j’entrepris ma reptation. L’herbe était douce et j’arrivais sans trop de mal au bout de la pelouse. Par contre le carré de terre du potager avait été copieusement arrosé. En fait, ce n’était qu’une mare de boue, froide et gluante.

Je n’arrivais pas à prendre d’appuis. Chaque fois que j’avançais mes bras, je reculais de la moitié de ce que je venais péniblement de gagner. Mais ce n’était pas le plus terrible : J’atteindrais bientôt la berge couverte de d’orties. Je voyais déjà les feuilles dentelées, bien vertes, bien larges et bien urticantes.

J’y étais, et je n’osais plus avancer. Encore une fois, je me dis qu’il allait venir me chercher, que c’était trop dur. Mais toujours rien. J’étais couverte de boue, exténuée, mes intestins hurlaient une délivrance que je ne pouvais obtenir, la nuit tombait et je commençais à avoir peur. Alors j’avançais. Mes deux avant-bras... les piqûres furent instantanées, comme des milliers d’aiguilles. Mais cette douleur me fit oublier tout le reste ; je devais avancer, en finir, et je me pris à accepter cette punition.

En fait, la boue qui me recouvrait entièrement me protégeait. Je devais juste faire beaucoup plus d’efforts pour soulever au maximum mon visage et éviter de trop me frotter sur le sol. Mais mes mouvements était plus limités et j’avançais moins vite. J’atteins le bord de la rivière à bout de souffle, d’autant que ce bâillon ne facilitait pas ma respiration. Devant moi, il y avait un guet de 2 mètres à peine, de gros galets ronds et quelques cm d’eau, mais elle était très froide, et j’étais en nage. Je rentrais doucement dans l’eau, et me laissais caresser par le courant. Ca me faisait du bien. Je soulevais la tête pour la garder au-dessus de la surface, et là, je vis avec horreur qu’une autre épreuve m’attendait....

Une vache, non, un troupeau de vaches m’attendait de l’autre coté, dans le champ du voisin. Et en fait la corde ne faisait pas seulement le tour de l’arbre au bord de la rivière, mais aussi le tour d’un pieu planté juste derrière les vaches qui s’étaient rassemblées au bord du terrain. J’avais peur de ces animaux et ficelée comme je l’étais, j’allais devoir passer entre ces mammifères, sur un terrain qui appartenait au voisin.

A présent qu’il faisait nuit, il y avait peu de chance pour qu’il vienne chercher ses bêtes à cette heure, mais ma peur augmentait jusqu’à l’angoisse et je crois que c’était maintenant la seule chose qui me donnait encore la f o r c e d’avancer. Je suis passée entre deux bovins, j’ai frôlé un troisième et quand j’arrivais pour faire le tour du pieu, je m’aperçus à la clarté de la lune que l’endroit était couvert de bouses de vache. Etait-ce volontaire ?... Rien ne me serait épargné !

Je pouvais les éviter, mais cela me faisait faire un grand détour, et je n’en pouvais plus ! Alors je passais, je me vautrais dans la merde de vache.. Merde !.. La vache !....

Et je retournais vers l’arbre, le demi-tour fut difficile, et là je crus mourir.. Ce n’était pas possible... la corde de l’autre coté de l’arbre passait par-dessus un buisson de ronces qu’il n’était pas possible de contourner. Je sentis comme une boule monter à ma gorge, je ne pouvais plus respirer et d’un coup, de mes yeux jaillit un flot de larmes. Je restais un long moment la tête sur mon bras, à s a n g l o t e r, avant de comprendre que je n’avais pas besoin de faire le tour de l’arbre. Les quelques mètres que j’avais gagnés en faisant le tour du piquet me suffiraient pour atteindre les clés. Je devais juste faire attention de bien tirer la corde derrière moi afin d’éviter que les vaches ne s’emmêlent dedans.

Et je repartis vers la rivière que je traversais de nouveau. Je regagnais la berge et bien quand faisant attention à passer au même endroit, ou les orties étaient couchées, les piqûres furent plus violentes encore, car je n’avais plus la boue pour me protéger. Je ne ramenais avec moi que l’odeur infecte de la bouse de vache engluée dans mes cheveux.

Chaque mouvement était douloureux, tout mon corps me faisait mal ; Les piqûres, le froid, les liens qui comprimaient mes jambes... Mon sexe en feu après avoir été traîné dans les orties, ne supportait plus le frottement incessant du tissu. Mais le pire venait de mes entrailles : mes intestins se tordaient de douleur.

J’essayais de pousser et d’expulser la bougie, mais je n’y parvenais pas. J’aurais voulu crier mais aucun son ne sortait. Le vent s’était levé et me faisait frissonner, le ciel s’était couvert de nuage, cachant la lune, j’étais dans le noir, seule et tellement vulnérable. Je sentis la f o r c e m’abandonner, ma tête se mis à tourner ; Je n’en pouvais plus...

J’étais à demi-consciente quand une lumière aveuglante envahi le ciel. L’éclair traversa tout le ciel au-dessus de moi et aussitôt un grondement de tonnerre éclata d’un fracas assourdissant. Un déluge se mis à tomber. Le ciel aussi était contre moi.

J’en avais mare, que sa s’arrête !. Je n’avais pas le choix, et je devais faire vite. Le potager était déjà détrempé et avec toute cette pluie, je ne pourrais plus avancer dans la boue. Chaque fois que j’essayais de me tirer sur mes bras, je glissais et retombais face contre terre. J’en avais partout, dans les cheveux, les yeux, la bouche. Mais j’arrivais enfin au bord de la pelouse. Il étais là, à l’abri du porche, nu. Quand il se leva, je ne pus détacher mon regard de son sexe tendu comme un arc.

En quelques secondes, il coupa les liens qui retenaient mes jambes et les deux pans de cravates entre mes jambes. Il me retourna comme une crêpe, et s’abattit sur moi. Il s’agrippa à mes épaules et de toute sa f o r c e, d’un coup il me pénétra. Je crois que jamais son membre ne m’avait semblé aussi énorme, le plaisir monta en moi instantanément.

Tous mes sens étaient exacerbés par toutes ces épreuves. En fait, j’étais trempée autant par le désir que par toute cette pluie qui s’abattait sur nous. Il avait chaud et j’étais tellement exténuée que je me laissais complètement aller ; J’étais vaincue, soumisse, et pendant que je me vidais, il me pilonnait sans relâche, faisant monter en moi des ondes de désir, de douleur et de jouissances confondues. J’avais encore les mains liées à mon cou. Il plaqua sa bouche à mon bâillon et nos langues se mêlèrent.

La vague de plaisir qui m’emporta éclata plus fort que le tonnerre de tout à l’heure, et je crois que je perdis connaissance. L’instant d’après, j’étais dans un bain bien chaud qu’il m’avait préparé, avant de sombrer dans un sommeil sans rêve.

Johana

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